«Tout ce qui est propre à exciter les idées de la douleur et du danger, c’est-à-dire toute ce qui est en quelque sorte terrible, tout ce qui traite d’objets terribles, tout ce qui agit d’une manière analogue à la terreur, est une source du sublime; ou, si l’on veut, peut susciter la plus forte émotion que l’âme soit capable de sentir »
Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau, traduction de E. Lagentie de Lavaïsse, Paris, J. Vrin, 197. Edmund Burke.
BLACK SUN invite le public à découvrir un Corps non identifié — Une étoile mystérieuse située au centre d’un système solaire dans une dimension parallèle — La naissance d’un territoire énergétique ectoplasmique filmé du point de vue de la caméra thermique et du rayon X. Ce traitement de l’image hybride oscille entre des masses gazeuses esquissées et les variations de rayonnement infrarouges — électromagnétique à haute fréquence.
« All that is fitted to excite the ideas of pain and danger, that is to say, whatever is in any sort terrible, or is conversant about terrible objects, or operates in a manner analogous to terror, is a source of the sublime; that is, it is productive of the strongest emotion which the mind is capable of feeling. »
Philosophical research on the origin of our ideas of the sublime and the beautiful, translated by E. Lagentie de Lavaïsse, Paris, J. Vrin, 197. Edmund Burke.
BLACK SUN invites the audience to discover an Unidentified Body — a mysterious star situated at the center of a solar system in a parallel dimension — The birth of an ectoplasmic energetic territory filmed from the perspective of thermal cameras and X-rays. This treatment of hybrid imagery oscillates between sketched gaseous masses and variations in infrared — high-frequency electromagnetic radiation.
Genèse du projet : JOSÉ MAN LIUS + GAUTHIER KEYAERTS
INSTALLATION IMMERSIVE
Nous vivons tous physiquement l’expérience du TROU NOIR au quotidien par rapport à des problèmes d’ego. Nous absorbons de la «matière» et nous en rejetons. L’œuvre met en parallèle le lien paradoxale entre le regard humain et dimension incommensurable des galaxies. Lors de son passage dans l’œuvre, le corps du visiteur est détecté et sa présence est interprétée comme une vibration qui a un impact sur l’équilibre d’un environnement donnant à voir le monde à l’échelle d’un COSMOS IMAGINAIRE. Si le visiteur s’approche de trop près, l’œuvre s’emballe et déclenche un signal d’alarme sensoriel. «L’Humain, ce trou noir cannibale, qui absorbe tout ce qui l’entoure»