2016. SÛ. BLACK SUN

film /immersiveness /installation

 

SÛ. BLACK SUN

JOSE MAN LIUS + GAUTHIER KEYAERTS
INSTALLATION IMMERSIVE SONORE
Collaboration Image/Son osmotique & Interculturelle entre JOSÉ MAN LIUS (fr) + GAUTHIER KEYAERTS (be). Une relecture poétique d’images d’archives vidéo de la Nasa questionne le lien entre — la beauté et le sublime — le rationnel et merveilleux — les indifférentes vision de beauté et du sublime Le baroque, le romantisme & le conceptuel (…) La question du divin.

« UNE EXPÉRIENCE DU SUBLIME, CES FORCES QUI DÉPASSENT NOTRE ENTENDEMENT »

«Tout ce qui est propre à exciter les idées de la douleur et du danger, c’est-à-dire toute ce qui est en quelque sorte terrible, tout ce qui traite d’objets terribles, tout ce qui agit d’une manière analogue à la terreur, est une source du sublime; ou, si l’on veut, peut susciter la plus forte émotion que l’âme soit capable de sentir »

Recherche philosophique sur l’origine de nos idées du sublime et du beau, traduction de E. Lagentie de Lavaïsse, Paris, J. Vrin, 197. Edmund Burke.

LE CORPS A L’ÉCHELLE DES ÉTOILES

BLACK SUN invite le public à découvrir un Corps non identifié — Une étoile mystérieuse située au centre d’un système solaire dans une dimension parallèle — La naissance d’un territoire énergétique ectoplasmique filmé du point de vue de la caméra thermique et du rayon X. Ce traitement de l’image hybride oscille entre des masses gazeuses esquissées et les variations de rayonnement infrarouges — électromagnétique à haute fréquence.

PRÉSENTATION

L’œuvre crée des correspondances entre illusion & réalité physique en deux étapes : Partie 1. 1 FILM HD. F.16.9 – 5MN15. / Partie 2. 1 installation comprenant —1 écran vertical qui s’aligne en ligne droite avec 6 tirages photographiques noir/argent issus de l’œuvre vidéo — 1 spatialisation sonore 4 pistes.

 

 

SÛ. BLACK SUN

JOSE MAN LIUS + GAUTHIER KEYAERTS
IMMERSIVE SOUND INSTALLATION
An osmotic and intercultural Image/Sound collaboration between JOSÉ MAN LIUS (France) and GAUTHIER KEYAERTS (Belgium). A poetic reinterpretation of archival NASA video footage prompts an inquiry into the connection between — beauty and the sublime — the rational and the marvelous — diverse perspectives on beauty and the sublime encompassing the Baroque, Romanticism, and the conceptual realm (…) The question of the divine.

« AN EXPERIENCE OF THE SUBLIME, FORCES THAT SURPASS OUR UNDERSTANDING »

« All that is fitted to excite the ideas of pain and danger, that is to say, whatever is in any sort terrible, or is conversant about terrible objects, or operates in a manner analogous to terror, is a source of the sublime; that is, it is productive of the strongest emotion which the mind is capable of feeling. »

Philosophical research on the origin of our ideas of the sublime and the beautiful, translated by E. Lagentie de Lavaïsse, Paris, J. Vrin, 197. Edmund Burke.

THE BODY ON THE SCALE OF THE STARS

BLACK SUN invites the audience to discover an Unidentified Body — a mysterious star situated at the center of a solar system in a parallel dimension — The birth of an ectoplasmic energetic territory filmed from the perspective of thermal cameras and X-rays. This treatment of hybrid imagery oscillates between sketched gaseous masses and variations in infrared — high-frequency electromagnetic radiation.

PRESENTATION

The work establishes correspondences between illusion and physical reality in two stages: Part 1. 1 HD FILM. Aspect Ratio 16:9 – 5 minutes 15 seconds / Part 2. 1 installation comprising — 1 vertical screen aligning straight with 6 black-and-silver photographic prints derived from the video work — 1 spatialized sound with 4 tracks.

 

Genèse du projet : JOSÉ MAN LIUS + GAUTHIER KEYAERTS
INSTALLATION IMMERSIVE

Nous vivons tous physiquement l’expérience du TROU NOIR au quotidien par rapport à des problèmes d’ego. Nous absorbons de la «matière» et nous en rejetons. L’œuvre met en parallèle le lien paradoxale entre le regard humain et dimension incommensurable des galaxies. Lors de son passage dans l’œuvre, le corps du visiteur est détecté et sa présence est interprétée comme une vibration qui a un impact sur l’équilibre d’un environnement donnant à voir le monde à l’échelle d’un COSMOS IMAGINAIRE. Si le visiteur s’approche de trop près, l’œuvre s’emballe et déclenche un signal d’alarme sensoriel. «L’Humain, ce trou noir cannibale, qui absorbe tout ce qui l’entoure»

 

Genesis project : JOSÉ MAN LIUS + GAUTHIER KEYAERTS
IMMERSIVE INSTALLATION

We all physically experience the BLACK HOLE daily in relation to ego issues. We absorb « matter » and expel it. The artwork draws a parallel between the paradoxical connection of the human gaze and the immeasurable dimensions of galaxies. As visitors pass through the artwork, their bodies are detected, and their presence is interpreted as a vibration that impacts the balance of an environment, revealing the world on the scale of an IMAGINARY COSMOS. If the visitor gets too close, the artwork intensifies, triggering a sensory alarm. « Humanity, this cannibalistic black hole, absorbing everything around it. »