José Man Lius, a polymath artist of Caribbean descent, interrogates the intricate links between memory, identity, and social transformation in a rapidly changing world. Through a transdisciplinary approach that blends art, history, and science, he explores multifaceted trajectories where technology, culture, and nature intersect and clash. An engaged observer of globalized transformations, his ecosystemic approach offers a critical reflection on the dynamics of cultural and historical transmission while questioning the impact of alternative narratives in the digital age.
Born in Paris in 1970 and trained at the Ateliers des Beaux-Arts in Versailles, José Man Lius has built a hybrid career that combines writing, photography, video, and immersive environments. His collaborations with engineers, biologists, and computer scientists highlight his commitment to merging innovation with artistic creation. He fosters an interdisciplinary dialogue to explore contradictory narratives and evolving identities, particularly in spaces where ecological and identity-based questions take center stage.
José Man Lius’s approach is anchored in an « ecosystemic aesthetic, » where each work becomes a space of interconnection between humans, nature, and technological artifacts. This concept, rooted in a vision of total art, transcends disciplinary boundaries to unveil the tensions between the sensory and the artificial, individual memory and collective heritage. Each project functions as a cartography of relationships and trajectories, mapping spaces of hybridization between art, history, and science. Drawing inspiration from the principles of mesology, he examines physical, digital, and immaterial environments to address critical contemporary art issues: the ecology of life, cultural hybridization, and the ethics of narratives.
José Man Lius’s artistic practice spans a wide range of mediums and methods. His drawings, photographs, videos, and immersive environments serve as gateways to intimate narratives, often at odds with official accounts.
José Man Lius’s work investigates the trajectories outlined by physical and symbolic lines that connect individuals, communities, and environments. He interrogates the boundaries of humanity in the era of augmented technologies and digital narratives.
By collaborating with artisans, scientists, and technologists, José Man Lius creates works that interrogate ecological, social, and identity transformations. For example:
José Man Lius, artiste polymorphe d’origine caribéenne, interroge la complexité des liens entre mémoire, identité et transformation sociale dans un monde en mutation. À travers une démarche transdisciplinaire qui conjugue art, histoire et science, il explore des trajectoires multiples où technologie, culture et nature se croisent et se confrontent. Témoin engagé des mutations du monde globalisé, son approche écosystémique propose une réflexion critique sur les dynamiques de transmission culturelle et historique, tout en questionnant l’impact des récits alternatifs à l’ère numérique.
Né à Paris en 1970 et formé aux Ateliers des Beaux-Arts de Versailles, José Man Lius a construit un parcours hybride, alliant rédaction, photographie, vidéo et environnements immersifs. Ses collaborations avec des ingénieurs, biologistes et informaticiens témoignent de sa volonté de croiser innovation et création artistique. Il engage ainsi un dialogue interdisciplinaire pour explorer les récits contradictoires et les identités en mutation, notamment dans des espaces où les questions identitaires et écologiques sont centrales.
Étapes clés :
L’approche de José Man Lius s’articule autour d’une « esthétique écosystémique », où chaque œuvre devient un espace d’interconnexion entre l’humain, la nature et les artefacts technologiques. Ce concept, ancré dans une vision d’Art total, transcende les frontières disciplinaires pour révéler les lignes de tension entre le sensible et l’artificiel, la mémoire individuelle et le patrimoine collectif. Chaque projet se présente comme une cartographie des relations et des trajectoires, esquissant des espaces d’hybridation entre art, histoire et science. Inspiré par les notions de mésologie, il explore les milieux physiques, numériques et immatériels pour interroger les enjeux majeurs de l’art contemporain : écologie du vivant, hybridation culturelle et éthique des récits.
La démarche artistique de José Man Lius combine une diversité de médiums et d’approches. Dessins, photographies, vidéos et environnements immersifs deviennent autant de portes d’entrée vers des récits intimes, souvent en tension avec les versions officielles.
Son travail explore les trajectoires esquissées par les lignes physiques et symboliques qui relient individus, communautés et milieux. JML interroge les frontières de l’humain à l’ère des technologies augmentées et des récits numériques.
En collaborant avec des artisans, experts en sciences et technologies, José Man Lius élabore des œuvres qui interrogent les transformations écologiques, sociales et identitaires. Par exemple :
“Une vision de l’art comme un outil pour réinventer les récits de l’avenir ?”
2024. « MÜ, Architectures proteïformes». Festival Vidéoformes, Clermont Ferrand – Cyfest, Yerevan.
2023-24. Recueil de nouvelles de science fiction et d’Art environnemental, Paris.
2023. Enquêtes, articles et documentaires. Webmagazine Culturama, Paris.
2020. « Écologie du vivant». 8ème édition Nuit Blanche, Port-au-Prince, Haïti.
2020. Biennale d’Issy les Moulineaux, Musée de la carte à jouer.
2020. « Identités Hybrides ». 100ecs, Paris.
2019. « Over the Breal ». Vidéoformes. X Biennale di Soncino, Italie.
2019. « Contre Nature ». Atelier Alfred Boucher. Fondation La Ruche-Seydoux, Paris.
2018. Corset social. « Draw Art Talents Experience #01». 100 ecs, Paris.
2018. Black Sun. Miff. Mumbai International Film Festival, Inde.
2018. Confidence d’artiste. Ecoutez Voir ! Carré sur Seine, Boulogne.
2017. Black Sun. Festival Vidéoformes, Clermont Ferrand.
2016. Itinéraire(s). Carré d’Art de Guadeloupe, Dominique, Antigua, etc.
2016. Memory. Athènes Digital Art Festival, Athènes.
2016. Sur/face. Les Saisons Parisiennes, St Petersbourg.
2015. « Opus ». Festival Images Caraïbes, Mémorial Acte, Guadeloupe.
2015. « Opus ». École Polytechnique Science & Art, Moscou.
2015. Biennale d’Issy les Moulineaux. Musée de la Carte à Jouer.
2015. Lux Voce Corpore. Festival Vidéoformes, Clermont-Ferrand.
2014. « B.I.M». Biennale de l’Image en Mouvement, Buenos Aires, Argentine.
2014. « TIME is love». Torrance Museum, Californie, États-unis.
2014. « Paço das artes », São Paulo, Brésil.
2014. « MADATAC », Madrid.
2014. Le générateur, Paris/Gentilly.
2014. « La fin du monde ». Galerie Le Purgatoire, Paris.
2014. « Istanbul Art Fair », İstanbul, Turquie.
2013. Biennale d’Issy les Moulineaux, Musée de la carte à jouer.
2012. « Portrait in the moving image ». Internationell Konst Film Uts, Suède.
2012. Nuits Blanches Paris/oran. Institut Français.
2012. AIVA Festival, Suède.
2012. Les instants vidéo poétiques, Marseille.
2011. Heure Exquise, Lille.
2011. Vidéo Appart. Paris, Rome, Dubaï.
2010. « 15 ». Galerie Tour & Taxis, Bruxelles.
2004. « Sirènes ». Rencontres. Christophe Cuzin, Paris .
2014. Résidence d’Artiste Art vidéo. DRAC Clermont.
2013. Intrusion. Prix ADAGP. Cité des Arts, Paris.
2011. Aide à la Création. DRAC Basse-Terre.
2005. Présélection. Résidence d’Artiste. Villa Kujoyama, Kyoto, Institut Français.
WWW.PARIS-ART.COM , AREA REVUES, TURBULENCES VIDEO, AVIA, VALLEE DE LA CULTURE, ART TENSION, YOUNG BLOOD , MARIE CLAIRE (JP), ARTENEWS (BE), BATHROOM MANNERS (EDITION. JANNINK, JEAN-PAUL KAUFFMAN), CLIP (LFDA / M6 / ARTE CREATIVE / MTV EUROPE, ASIE / MCM)
1989/95. Master Beaux Arts (Versailles – Paris) / Paris 8 / Centre d’Art numérique Art 3000
José Man Lius I Laboratoire du champ des possibles I 75 015 PARIS I +33. 6 6 014 74 03 I josemanlius @ gmail . com