Nous vivons tous physiquement l’expérience du TROU NOIR au quotidien par rapport à des problèmes d’ego. Nous absorbons de la «matière» et nous en rejetons. L’œuvre met en parallèle le lien paradoxale entre le regard humain et dimension incommensurable des galaxies. Lors de son passage dans l’œuvre, le corps du visiteur est détecté et sa présence est interprétée comme une vibration qui a un impact sur l’équilibre d’un environnement donnant à voir le monde à l’échelle d’un COSMOS IMAGINAIRE. Si le visiteur s’approche de trop près, l’œuvre s’emballe et déclenche un signal d’alarme sensoriel. «L’Humain, ce trou noir cannibale, qui absorbe tout ce qui l’entoure»