« LUX VOCE CORPORE » is an interactive video and sound installation that can accommodate about thirty people for 25 minutes to explore, from various angles, the facets of an unclassifiable opera in 5 movements, evoking the societal mutations through a free interpretation of the myth of the hours (hores).
The artwork consists of a video projection and motion-capture system animating mirrored panels. Light sources trace converging lines toward a focal point. THE ILLUSION.
This illusion of space, forms, colors, and reflections overlays and superimposes onto transparent blades. The audience strolls through the antechamber of time. It is also an immersion in fleeting and animated images, creating an impression of disorientation. An interpretation of the myth of seasons. The Hours (Hores), mythological figures, witness humanity’s disenchantment in the face of climate change.
« DEAMBULARE » Entering the chapel plunges the visitor into the heart of the illusion. This illusion involves forms and colors, reflections that overlap between the transparent blades one ambles through.
At the heart of this illusion lies a desire: the desire for enchantment. It is the steadfast will to delude oneself to escape from a morbid time and space, those of humanity.
In the chapel, it is a matter of immortality. One escapes, for a while, from that clamor. Bodies merge with their images, becoming mere reflections. And sounds, monotonous tones, replace the interplay of thoughts and conversations. Enough to fill this space and make it a place of consensual illusion.
« LUX VOCE CORPORE » est une installation vidéo et sonore interactive pouvant accueillir une trentaine de personnes pendant 25 minutes pour découvrir sous différents angles les volets d’un opéra inclassable en 5 mouvements évoquant les mutations de la société à travers une interprétation libre du mythe des heures (hores).
L’œuvre se compose d’un système de projection vidéo et de capture de mouvements animant des panneaux miroirs. Des sources lumineuses tracent des lignes de fuite vers un point de convergence. L’ILLUSION.
Cette illusion d’espace, de formes, de couleurs et de reflets se superpose et se surimpose aux lames transparentes. Le public déambule dans l’antichambre du temps. C’est également une immersion dans des images fugitives et animées, créant une impression de désorientation. Une interprétation du mythe des saisons. Les Heures (Hores), figures mythologiques, constatent le désenchantement des hommes face au dérèglement climatique.
« DEAMBULARE » L’entrée dans la chapelle plonge le visiteur au cœur de l’illusion. Cette illusion concerne les formes et les couleurs, les reflets qui se superposent entre les lames transparentes où l’on déambule.
Au cœur de cette illusion réside un désir : le désir de l’enchantement. Il s’agit de la volonté farouche de se leurrer pour s’extraire d’un temps et d’un espace morbides, ceux de l’humanité.
Dans la chapelle, il est question d’immortalité. On échappe pour un temps à ce vacarme. Les corps fusionnent avec leurs images, devenant simplement des reflets. Et des sons, des sonorités monocordes, pour remplacer le jeu des pensées et des conversations. Assez pour remplir cet espace et en faire un lieu d’illusion consentie.
DESCRIPTION TECHNIQUE : « Le labyrinthe des glaces » est composée d’une création sonore et d’un dispositif mobile — participatif — interactif. L’œuvre comprend 5 vidéoprojections multi-écrans sur une dizaine de panneaux mobiles de plexiglas et miroirs sans tain. Le cerveau ne discernant plus l’information visuelle, la superposition des réfractions de lumières et vidéoprojections en mouvement créent une perturbations sensorielle psychédélique.
TECHNICAL DESCRIPTION: « The ice labyrinth » is composed of a sound creation and a mobile device – participative – interactive. The work includes 5 multi-screen videoprojections on a dozen moving panels of plexiglass and one-way mirrors. As the brain no longer discerns visual information, the superposition of light refractions and moving video projections creates a psychedelic sensory disturbance.